J’ai heureusement eu la chance de pouvoir raconter cette histoire à
quelqu’un qui avait des oreilles girafes grandes ouvertes et qui a
accueilli toutes mes parts avec beaucoup d’empathie. Ainsi, j’ai pu
retrouver le chemin de la connexion à moi-m’aime et m’ouvrir à la
beauté des besoins qui m’animaient . Mon langage « chacals envers cette
personne » était à la mesure de l’intensité d’un énorme besoin
d’empathie suite à la situation que je venais de vivre avec elle. Et
si je me suis jugée si sévèrement c’est que j’avais aussi besoin de
cohérence entre mes paroles et les valeurs qui font sens pour moi comme
la non-violence et le respect des autres .
Quel petit pas puis-je faire pour prendre en compte à l’avenir mon besoin d’expression et d’empathie quand je suis stimulée ET mon besoin de cohérence et de contribution au monde dans lequel je veux vivre ?
Mon petit pas, c’est ce dessin ! Pour me rappeler, lorsque je serai à nouveau fortement stimulée, de parler de ce qui est vivant en moi, de l’intensité de ce qui me traverse plutôt que de parler sur les autres.
Ps : Merci à Lilian Cobo qui nous a offert lors du stage CNV « femmes en éveil » la petite phrase que j’ai écrite en bleu dans le dessin, je la garde précieusement.
Quel petit pas puis-je faire pour prendre en compte à l’avenir mon besoin d’expression et d’empathie quand je suis stimulée ET mon besoin de cohérence et de contribution au monde dans lequel je veux vivre ?
Mon petit pas, c’est ce dessin ! Pour me rappeler, lorsque je serai à nouveau fortement stimulée, de parler de ce qui est vivant en moi, de l’intensité de ce qui me traverse plutôt que de parler sur les autres.
Ps : Merci à Lilian Cobo qui nous a offert lors du stage CNV « femmes en éveil » la petite phrase que j’ai écrite en bleu dans le dessin, je la garde précieusement.